🐃 Sepulture Pour Notable De L Egypte Antique

La VallĂ©e des Nobles. Les nĂ©cropoles civiles dissĂ©minĂ©es dans la plaine ou creusĂ©es dans les flancs de la falaise libyque. Ainsi, on compte cinq nĂ©cropoles majeures (El-Assassif, El-KhĂŽkha, Dra Abou el-Neggah, Gournetel-MouraĂŻ et cheikh Abd el-Gournah), regroupant plusieurs centaines de tombes amĂ©nagĂ©es pour les notables du Nouvel Empire (1552-1069 avant J.-C.) ; elles SĂ©pulturepour notable de l'Égypte antique Solution . M A S T A B A. Roi Dangleterre Au CƓur De Lion. Poubelle D'ordinateur . CodyCross Londres Groupe 481. Toutes les rĂ©ponses Ă  CodyCross Londres. DĂ©finition Solution; SĂ©pulture Pour Notable De L'Ă©gypte Antique: mastaba: Dilatation De Veines: VARICES : On Y Étudie De La SixiĂšme À La TroisiĂšme: COLLEGE: État SituĂ© À Perlesantiques : de la MĂ©sopotamie Ă  l'Empire romain. Avec les perles antiques, nous touchons Ă  l’origine des perles de verre que nous retrouvons aujourd’hui en Afrique. DĂšs les premiĂšres grandes civilisations. Les hommes imaginent des bijoux Ă  base de silice (3 500 ans av J.C), mĂȘme si l’on parle de faĂŻence (terme employĂ© par LasĂ©pulture « n’étant pas situĂ©e immĂ©diatement Ă  cĂŽtĂ© d’une pyramide royale, le propriĂ©taire du mastaba n’était probablement pas un membre de la famille royale », est-il mentionnĂ© dans le texte du communiquĂ© , qui Ă©voque encore une « dĂ©couverte remarquable() qui va contribuer Ă  comprendre » les techniques de construction des bateaux dans l’Égypte Unnouveau documentaire dĂ©voile l’existence d’une ingĂ©nieuse "machine" au cƓur de la grande pyramide de Gizeh. Un systĂšme anti-intrusion mis en place dans l’AntiquitĂ© pou UniqueSepulture Pour Notable De Legypte Antique Posters designed and sold by artists. Shop affordable wall art to hang in dorms, bedrooms, offices, or anywhere blank walls aren't welcome. Unique Sepulture Pour Notable De Legypte Antique Posters designed and sold by artists. 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Pourque leurs morts puissent se nourrir dans l’au-delĂ , les Égyptiens momifiaient autrefois des morceaux de viande. Des chercheurs de Quelssont les rĂ©sultats proches pour Sepulture pour notable de l egypte antique Nombre de rĂ©sultats supplĂ©mentaires : 30 TANIS [5] CISTE [5] SISTRES [7] NEFERTITI [9] TOMBAL [6] SISTRE [6] NOME [4] URAEUS [6] SENSIBLEMENT [12] TEOS [4] DYNASTIES [9] SCRIBES [7] THEBES [6] NECROPOLE [9] NUBIE [5] EDILE [5] ALEXANDRIE [10] CAIRE [5] CATACOMBE [9] SĂ©pulturePour Notable De L'Ă©gypte Antique - CodyCross La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 7 lettres et commence par la lettre M CodyCross Solution pour SÉPULTURE POUR NOTABLE DE L'ÉGYPTE ANTIQUE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Eneffet, nous avons prĂ©parĂ© les solutions de Word Lanes SĂ©pulture pour notable de l’Égypte antique. Ce jeu est dĂ©veloppĂ© par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisĂ©s, les mots sont Ă  trouver Ă  partir de leurs dĂ©finitions. Nous avons trouvĂ© les rĂ©ponses Ă  ce Pouren savoir davantage sur cette thĂ©matique c'est Ă  dire la ville en Égypte antique, je vous convie donc Ă  suivre les liens (en jaune) : ceux-ci correspondent Ă  des articles Ă©ditĂ©s prĂ©cĂ©demment ! Highquality Sepulture Pour Notable De Legypte Antique inspired Pillows & Cushions by independent artists and designers from around the world.All orders are custom made and most ship worldwide within 24 hours. High quality Sepulture Pour Notable De Legypte Antique inspired Pillows & Cushions by independent a Neckties fit any dad. Yawn. Give a gift that only fits ahJs. Sous le nom d’Amarna ou Tell el-Amarna, on dĂ©signe le site de Moyenne Égypte oĂč le pharaon de la XVIIIe dynastie XIVe s. av. AmĂ©nophis IV-AkhĂ©naton choisit d’édifier sa nouvelle capitale pour prendre ses distances avec ThĂšbes et pour fournir un cadre appropriĂ© au culte, plus ou moins exclusif, du dieu solaire Aton qu’il tenta d’imposer au pays. Par extension le terme amarnien » peut Ă©galement s’appliquer Ă  tout ce qui touche Ă  ce rĂšgne peu banal dans l’histoire Ă©gyptienne et en particulier Ă  l’art et aux idĂ©es nouvelles en vigueur Ă  cette Ă©poque. CrĂ©dit Barry Kemp et Kate Spence, Egypt exploration society ; infographie Michael Mallinson La ville d’Amarna, bien que trĂšs ruinĂ©e, constitue un cas exceptionnel dans l’archĂ©ologie Ă©gyptienne, tant par son caractĂšre Ă©phĂ©mĂšre que par son importance historique et la richesse des informations de toute sorte qu’elle peut apporter. À cĂŽtĂ© des tombes et des temples, on trouve aussi lĂ  une ville proprement dite avec des palais, des rĂ©sidences de notables, des maisons plus modestes, un quartier ouvrier, des rues, tout un vaste ensemble dont la fouille progressive permet de mieux apprĂ©hender l’urbanisme pharaonique dont les trop rares tĂ©moignages n’ont encore intĂ©ressĂ© que peu de spĂ©cialistes. Des recherches archĂ©ologiques de plus ou moins grande envergure ont en effet lieu depuis plus d’un siĂšcle sur ce site ; si elles ont d’abord permis de mettre en valeur les aspects exceptionnels de ce qu’il est convenu d’appeler l’aventure amarnienne », elles donnent lieu Ă©galement, dĂ©sormais, Ă  d’autres approches, tout aussi stimulantes et fĂ©condes, sans verser pour autant dans le sensationnel, voire le romanesque, que suscite trop souvent cette pĂ©riode. Plan du site de Tell El-Amarna Le site d’Amarna Amarna est situĂ© en face de la ville antique d’Hermopolis magna, non loin de la ville moderne de Mellawi. Le nom erronĂ©, mais entrĂ© dans l’usage, de Tell el-Amarna est le fruit de la dĂ©formation des noms d’un village actuel, el-Till, et d’une tribu arabe installĂ©e lĂ  anciennement, les Beni Amran. LocalisĂ© sur la rive est du Nil, le site est remarquable et d’une grande beautĂ©. Il consiste en une vaste Ă©tendue 10 km Z 5 km limitĂ©e Ă  l’ouest par le Nil et Ă  l’est par la chaĂźne arabique qui forme Ă  cet endroit comme un cirque. C’est dans ce paysage presque clos et somme toute vierge qu’AkhĂ©naton, accompagnĂ© de la reine NĂ©fertiti, dĂ©cida de bĂątir la nouvelle capitale dĂ©diĂ©e au dieu Aton et baptisĂ©e Akhetaton Horizon d’Aton », le territoire symĂ©trique situĂ© sur la rive gauche constituant une sorte d’arriĂšre-pays pour la nouvelle citĂ©. La dĂ©cision et sa mise en application datent de l’an 4 ou 5 du rĂšgne ; la construction de la ville dut se faire trĂšs rapidement, mais en un sens elle ne fut jamais complĂštement terminĂ©e et il faut imaginer qu’Amarna resta plus ou moins un chantier permanent. CrĂ©dit Barry Kemp et Kate Spence, Egypt exploration society ; infographie Michael Mallinson Les limites de la ville et de son territoire, ainsi que les circonstances de la fondation, sont fixĂ©es par des stĂšles-frontiĂšre de grande taille, accompagnĂ©es de statues, qui furent taillĂ©es Ă  mĂȘme le rocher. Elles sont au nombre de trois sur la rive gauche et de onze du cĂŽtĂ© d’Amarna proprement dit. Elles se dĂ©gradent mais certaines sont encore assez bien conservĂ©es et leurs reprĂ©sentations la famille royale adorant Aton et leurs textes constituent des tĂ©moignages prĂ©cieux ; les inscriptions surtout, du fait que leur langue comme leur phrasĂ©ologie sont caractĂ©ristiques de cette pĂ©riode et des bouleversements qu’elle suscita. La ville Il faut rappeler qu’Amarna n’est encore que partiellement connu du fait de son Ă©tendue et de la prĂ©sence de gros villages ou de cultures dans l’ancienne zone urbaine proprement dite le long du fleuve, et parce que les fouilles n’ont portĂ© que sur une partie du site. Certes, aprĂšs le passage rapide des grandes expĂ©ditions et des voyageurs du XIXe siĂšcle J. G. Wilkinson en particulier, puis les brefs sĂ©jours de plusieurs Ă©gyptologues W. F. Petrie, U. Bouriant, vint le temps des grandes prospections, des relevĂ©s systĂ©matiques de tombes et des fouilles proprement dites grandes expĂ©ditions britanniques puis allemandes jusqu’en 1914, grandes campagnes de l’Egypt Exploration Society de Londres entre 1921 et 1936. Mais il reste encore des zones entiĂšres Ă  explorer, et cela selon une dĂ©marche plus lente, plus mĂ©ticuleuse - comme le veut l’archĂ©ologie actuelle - qui est d’ailleurs celle des chercheurs britanniques qui ont repris les recherches sur ce site depuis les annĂ©es 1980. La ville au sens strict du terme en dehors des nĂ©cropoles et des territoires agricoles ou semi-dĂ©sertiques est en fait constituĂ©e de tout un vaste ensemble plus ou moins discontinu, avec son centre, ses quartiers suburbains, voire ses dĂ©pendances parfois Ă©loignĂ©es ; le tout s’étale du reste sur toute la longueur du site. Du nord au sud les principaux quartiers ou ensembles Ă©taient les suivants. 1. La ville du nord, avec ses maisons et son palais qui aurait Ă©tĂ© la rĂ©sidence royale principale. 2. Une sorte de rampe ou de plate-forme qui enjambait la voie royale laquelle traversait tout le site longitudinalement. 3. Le palais du nord, construit peut-ĂȘtre Ă  l’origine pour la reine NĂ©fertiti, avec ses dĂ©pendances. Des peintures montrant entre autres la vie dans les marais couvraient certains murs. 4. Le faubourg nord qui pourrait avoir Ă©tĂ© une extension postĂ©rieure et inachevĂ©e de la ville centrale. 5. Cette derniĂšre est en un sens la mieux connue ; du fait de son importance elle a en effet Ă©tĂ© particuliĂšrement Ă©tudiĂ©e, mais les inconnues demeurent nombreuses, les bĂątiments n’ayant conservĂ© que leurs arasements. Une bonne partie de cette ville centrale est constituĂ©e par des constructions cultuelles et officielles sĂ©parĂ©es par des rues, le tout suivant un plan gĂ©nĂ©ral en quadrillage. Parmi un certain nombre de sanctuaires consacrĂ©s au dieu solaire se trouvait lĂ  le grand temple d’Aton ; appelĂ© Maison d’Aton dans Akhetaton », c’était un vaste ensemble de cours et de portiques avec des autels Ă  ciel ouvert, diffĂ©rent en cela du temple Ă©gyptien classique. La principale construction officielle Ă©tait le grand palais, ensemble Ă©galement considĂ©rable comprenant divers bĂątiments et cours Ă  destination publique ou privĂ©e. La rĂ©sidence royale proprement dite, situĂ©e de l’autre cĂŽtĂ© de la voie royale, Ă©tait reliĂ©e au palais par un pont. PrĂšs de lĂ  se trouvait aussi le bureau des archives oĂč Ă©taient conservĂ©es les dĂ©pĂȘches diplomatiques et la correspondance officielle en rapport avec les affaires du Proche-Orient. Parmi les nombreuses maisons privĂ©es enfin, il faut mentionner celle du grand-prĂȘtre d’Aton, Panehesy. 6. Plus au sud se trouve un autre quartier oĂč l’on a retrouvĂ© la maison et l’atelier d’un sculpteur de tout premier plan, Thoutmes. 7. Une structure mal identifiĂ©e a Ă©galement Ă©tĂ© repĂ©rĂ©e prĂšs du Nil ; elle est connue sous le nom de temple du fleuve ». À la mĂȘme hauteur, mais beaucoup plus Ă  l’est, ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes les traces d’une occupation d’époque romaine, avec en particulier un camp. 8. Plus au sud encore se trouvait le Marou-Aton, sorte de rĂ©sidence annexe comprenant des bĂątiments divers, des sanctuaires, des jardins et mĂȘme un lac de plaisance. Toutes les parties d’Akhetaton Ă©numĂ©rĂ©es ci-dessus sont plutĂŽt situĂ©es dans la zone occidentale du site, plus ou moins prĂšs du Nil. Plus Ă  l’est, dans le dĂ©sert et non loin des falaises, se trouvent encore d’autres Ă©lĂ©ments de la ville et de ses dĂ©pendances. Ainsi y a-t-il tout au nord trois autels », constructions faites de brique et de pierre ; sans doute en relation fonctionnelle avec les tombes septentrionales, ils ont aussi dĂ» ĂȘtre utilisĂ©s lors de la cĂ©rĂ©monie de la prĂ©sentation du tribut Ă©tranger. Vers le centre du site, on trouve encore les restes d’un village fermĂ© par un mur, sorte de citĂ© ouvriĂšre qui dut abriter les hommes qui creusĂšrent et dĂ©corĂšrent la tombe royale et les sĂ©pultures des grands personnages on songe Ă  Deir el-MĂ©dineh, Ă  ThĂšbes, oĂč vĂ©curent les ouvriers de la nĂ©cropole. Une autre zone d’habitation, sans doute destinĂ©e au mĂȘme usage, a Ă©tĂ© dĂ©couverte encore plus Ă  l’est. La tombe royale et les sĂ©pultures des notables On n’a retrouvĂ© Ă  Amarna qu’un nombre insignifiant de tombeaux quand on songe Ă  la population qui habita cette ville et y mourut. C’est que, comme trĂšs souvent en Égypte, on ne s’est intĂ©ressĂ© surtout qu’aux sĂ©pultures les plus importantes. Or, du fait qu’Akhetaton a Ă©tĂ© assez rapidement abandonnĂ© par ses habitants, et en premier lieu par ses notables qui n’avaient pas coupĂ© tous les liens avec ThĂšbes, ces derniers n’avaient pas toujours eu le temps ni la volontĂ© ? de se faire construire un tombeau dans la nouvelle capitale. Du reste, les grands hypogĂ©es d’Amarna sont pour certains inachevĂ©s et semblent n’avoir pas Ă©tĂ© utilisĂ©s Ă  moins que les dĂ©funts et leur Ă©quipement funĂ©raire n’aient Ă©tĂ© dĂ©mĂ©nagĂ©s lors de l’abandon de la ville ?. Vers le nord-est s’ouvre dans la falaise l’entrĂ©e d’un long vallon, le Darb el-Malek. Il mĂšne, quelques kilomĂštres plus loin, Ă  ce qui devait ĂȘtre le cimetiĂšre royal. Mais des quelques sĂ©pultures prĂ©sentes, une seule a Ă©tĂ© dĂ©corĂ©e et sans doute utilisĂ©e celle d’AkhĂ©naton. TrĂšs profond et d’un plan assez proche de ceux qu’on connaĂźt Ă  la vallĂ©e des Rois, Ă  ThĂšbes, le tombeau du roi comporte comme deux prolongations latĂ©rales. Sans doute a-t-il Ă©tĂ© agrandi pour recevoir la reine et en tout cas la princesse Maketaton, morte prĂ©maturĂ©ment. Bien que trĂšs dĂ©gradĂ©s, les reliefs qui ornent l’hypogĂ©e tĂ©moignent encore du renouvellement de la thĂ©matique et du savoir-faire de ceux qui conçurent et exĂ©cutĂšrent sa dĂ©coration. Princesse AmarniĂšne Les sĂ©pultures des grands dignitaires Ă©taient quant Ă  elles creusĂ©es dans la falaise qui entoure le site. On en compte six, regroupĂ©es au nord, et dix-neuf, concentrĂ©es au sud, qui sont particuliĂšrement notables. Quoique assez proches des tombes thĂ©baines de la seconde moitiĂ© de la XVIIIe dynastie, elles prĂ©sentent parfois certaines diffĂ©rences entre elles, tant dans leur plan que dans leur dĂ©cor. LĂ  encore, l’état de conservation est malheureusement des plus mĂ©diocres. C’est regrettable car on avait affaire Ă  des reliefs et Ă  des textes du plus haut intĂ©rĂȘt documentaire et artistique famille royale, culte rendu Ă  Aton dans son temple, hommage d’étrangers, vie quotidienne Ă  Akhetaton, hymnes plus ou moins dĂ©veloppĂ©s... Cela d’autant plus que ces tombes rupestres appartenaient aux plus hauts dignitaires, ceux qui contrĂŽlaient la marche mĂȘme de la ville et du pays vizir, haut clergĂ© d’Aton, chefs du trĂ©sor, chancelier, chambellan, chef de la police, gĂ©nĂ©raux, maire, directeur des travaux... Il faut tout particuliĂšrement signaler la tombe du pĂšre divin AĂż qui, aprĂšs le retour Ă  l’ orthodoxie », finira par succĂ©der Ă  ToutĂąnkhamon et par monter sur le trĂŽne. Le Divin PĂšre AĂż L’importance d’Amarna Tell el-Amarna n’a pleinement fonctionnĂ© comme ville et n’a vraiment Ă©tĂ© habitĂ© que pendant une vingtaine d’annĂ©es une occupation sporadique a pu subsister prĂšs du Nil et on sait que des traces d’époque romaine ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es en un ou deux points. L’histoire du site se limite donc au rĂšgne d’AkhĂ©naton et de ses successeurs immĂ©diats ; mais ce rĂšgne ne se ramĂšne pas entiĂšrement Ă  Amarna ; l’Égypte, ThĂšbes, Memphis ont continuĂ© Ă  vivre leur vie propre pendant ce temps. C’est dire qu’il faut toujours garder un certain recul pour situer Amarna dans l’histoire et dans la civilisation Ă©gyptiennes. Il est vrai que malgrĂ© son caractĂšre Ă©phĂ©mĂšre et les destructions auxquelles il fut condamnĂ© avec Horemheb et ses successeurs, le site a fourni des documents exceptionnels, qui ont enrichi notre vision de l’Égypte du Nouvel Empire et mĂȘme du Proche-Orient contemporain. C’est lĂ  par exemple qu’ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes, provenant du bureau des archives, les lettres d’Amarna », c’est-Ă -dire environ quatre cents tablettes Ă©crites en akkadien et faisant connaĂźtre avec prĂ©cision la situation politique en Syrie-Palestine, les intrigues, les renversements d’alliances. C’est Ă  Amarna Ă©galement qu’ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes des oeuvres qui ne sont pas seulement les productions les plus Ă©tonnantes du nouvel art amarnien », mais qui comptent parmi les plus grandes rĂ©ussites de l’Égypte ancienne ainsi le trĂšs cĂ©lĂšbre buste de NĂ©fertiti maintenant Ă  Berlin, qui fut retrouvĂ© dans l’atelier du sculpteur Thoutmes. Mais l’importance d’Amarna ne rĂ©side pas seulement dans ce que cette ville a eu d’exceptionnel. Akhetaton fut aussi la ville d’innombrables Égyptiens anonymes, entraĂźnĂ©s sans bien comprendre dans des Ă©vĂ©nements qui les dĂ©passaient. Des tĂ©moignages modestes montrent par exemple qu’ils conservaient au cƓur mĂȘme de la citĂ© d’Aton leur dĂ©votion pour les divinitĂ©s traditionnelles. C’est cet autre visage d’Amarna, complĂ©mentaire du premier, qui est de plus en plus l’objet des recherches menĂ©es sur le site. Nothing matches your search for "Sepulture Pour Notable De Legypte Antique Hats".Don't give up! Check your spelling, clear some filters or try something for youTags overthink, let me overthink this, anxiety, anxious, funny, worry, introvert, overthinking, overthinker, introverts, for introverts, introverted, typography, humour, self deprecating humour, quote, quotes, dead pan Hang on. Let me overthink this. 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Le mythe de la mort peut ĂȘtre dĂ©composĂ© en deux parties Le jugement des morts*la premiĂšre Ă©tape qui est le voyage du dĂ©funt vers l'au-delĂ  avec la cĂ©rĂ©monie de l'embaumement ; * la seconde Ă©tape qui correspond au jugement de l'Ăąme du dĂ©funt par le dieu Osiris lorsque celui-ci atteint l'au-delĂ  pour ĂȘtre jugĂ© et peut-ĂȘtre accĂ©der au repos Ă©ternel. Conseil de lecture Le site archĂ©ologique de Sedeinga se situe au Soudan, Ă  une centaine de kilomĂštres au nord de la troisiĂšme cataracte du Nil, sur la rive Ouest du fleuve. Surtout connu pour abriter les ruines du temple Ă©gyptien de la reine Tiyi, Ă©pouse royale d’Amenhotep III, ce site accueille Ă©galement une grande nĂ©cropole, rassemblant des sĂ©pultures datant des royaumes de Napata et de MĂ©roĂ© VIIe siĂšcle avant / IVe aprĂšs une civilisation mĂȘlant traditions locales et influences Ă©gyptiennes. Des tombes, stĂšles et linteaux viennent d’ĂȘtre mis au jour par une Ă©quipe internationale pilotĂ©e par des chercheurs du CNRS et de Sorbonne UniversitĂ© dans le cadre de la Section française de la direction des antiquitĂ©s du Soudan, cofinancĂ©e par le CNRS et le ministĂšre de l’Europe et des affaires Ă©trangĂšres2. Ils reprĂ©sentent l’une des plus grandes collections d’inscriptions mĂ©roĂŻtiques, la langue la plus ancienne d’Afrique noire, connue Ă  ce jour. Photo aĂ©rienne de la fouille en dĂ©cembre 2017 La nĂ©cropole de Sedeinga s’étend sur plus de 25 hectares et abrite les vestiges d’au moins quatre-vingt pyramides de briques et de plus d’une centaine de tombes, datant des royaumes de Napata et de MĂ©roĂ© VIIe siĂšcle avant / IVe siĂšcle aprĂšs Les programmes de recherche effectuĂ©s depuis 20093 ont portĂ© sur la chronologie de la construction de cette nĂ©cropole, une question difficile car il ne reste que trĂšs peu d’informations historiques sur cette civilisation. Les chercheurs ont notamment montrĂ© que la plupart des pyramides et des tombes sont un rĂ©amĂ©nagement, par les MĂ©roĂŻtes, de structures datant de l’époque du royaume de Napata. Un amĂ©nagement qui intervient donc cinq siĂšcles aprĂšs la premiĂšre Ă©dification et que les MĂ©roĂŻtes ont complĂ©tĂ© par de nouvelles chapelles, bĂąties en briques et en blocs de grĂšs sur le flanc oriental des pyramides et destinĂ©es au culte du dĂ©funt. Cette pratique est une particularitĂ© des NapatĂ©ens et des MĂ©roĂŻtes, qui ont une vĂ©ritable vĂ©nĂ©ration pour les monuments du passĂ©, Ă  la diffĂ©rence de leurs voisins Ă©gyptiens. Pyramides de MĂ©roĂ© Des Ă©lĂ©ments de grĂšs dĂ©corĂ©s, comme des stĂšles, mais aussi des linteaux et des montants de porte, ont Ă©tĂ© retrouvĂ©s en surface, fournissant de magnifiques exemples de l’art funĂ©raire mĂ©roĂŻtique. Citons une stĂšle retrouvĂ©e sur la tranche, qui a conservĂ© tous ses pigments, notamment bleus, une raretĂ© pour ce type d’objets soumis habituellement aux alĂ©as du temps. Autre piĂšce d’exception dĂ©couvert un linteau de chapelle reprĂ©sentant MaĂąt, la dĂ©esse Ă©gyptienne de l’ordre, de l’équitĂ© et de la paix. Il s’agit de la premiĂšre reprĂ©sentation de cette dĂ©esse avec des traits africains. Le montant de chapelle funĂ©raire avec la figure de la dĂ©esse MaĂąt. Il date Ă©galement du IIe siĂšcle apr. Royaume de MĂ©roĂ©. © Vincent Francigny / Mission archĂ©ologique de Sedeinga Lors de la derniĂšre campagne de fouille, fin 2017, les chercheurs ont dĂ©couvert une stĂšle au nom de la Dame Maliwarase. Ses liens de parentĂ© avec les notables de Nubie le nord du royaume de MĂ©roĂ© y sont dĂ©taillĂ©s elle est ainsi la sƓur de deux grands-prĂȘtres d’Amon et l’un de ses fils a exercĂ© la fonction de gouverneur de Faras, une grande citĂ© en bordure de la deuxiĂšme cataracte du Nil. StĂšle au nom de la Dame Maliwarase. /© Claude Rilly / Mission archĂ©ologique de Sedeinga Les archĂ©ologues ont aussi mis au jour un linteau sur lequel figurent quatre lignes de textes qui prĂ©sentent le propriĂ©taire de la sĂ©pulture, une autre haute dame, Adatalabe. Elle est issue d’une illustre lignĂ©e qui comprend un prince royal, membre de la famille rĂ©gnante de MĂ©roĂ©. Ces deux stĂšles Ă©crites pour des femmes de haut rang ne sont pas isolĂ©es Ă  Sedeinga. Dans la sociĂ©tĂ© mĂ©roĂŻtique, ce sont en effet les femmes qui incarnaient le prestige de la famille et qui en transmettaient l’hĂ©ritage. La stĂšle d’Ataqeloula, trouvĂ©e en novembre 2017 sur la nĂ©cropole de Sedeinga. Elle date du IIe siĂšcle de notre Ăšre et commĂ©more une femme de la haute sociĂ©tĂ© de Sedeinga, ainsi que les membres prestigieux de sa famille. Toutes ces dĂ©couvertes permettent de progresser dans la connaissance de la civilisation mĂ©roĂŻtique, issue du mĂ©tissage culturel entre l’Égypte et l’Afrique noire qui caractĂ©rise encore le Soudan d’aujourd’hui. Ces objets funĂ©raires reprĂ©sentent ainsi la plus grande collection de textes rĂ©digĂ©s en mĂ©roĂŻtique, la langue la plus ancienne d’Afrique noire, Ă©crite avec des caractĂšres empruntĂ©s Ă  l’égyptien ancien. Le directeur de la mission, Claude Rilly, est chercheur CNRS au laboratoire de Langues et Cultures d’Afrique Noire CNRS/Inalco. Il codirige cette mission avec Vincent Francigny, directeur du SFDAS MEAE. Ces recherches ont Ă©tĂ© financĂ©es par la commission des fouilles du MinistĂšre français de l’Europe et des Affaires EtrangĂšres MEAE et par le laboratoire de Textes-ArchĂ©ologie-Histoire d’Orient et MĂ©diterranĂ©e CNRS/UniversitĂ© Sorbonne/UniversitĂ© PanthĂ©on-Sorbonne/EPHE/ France. La recherche menĂ©e entre le 14 novembre et le 19 dĂ©cembre 2017, derniĂšre en date, a reçu le prix de la Fondation Jean et Marie-ThĂ©rĂšse Leclant. Source

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